La situation des patients gazaouis déjà pris en charge en Israël avant l'intensification du conflit illustre également le drame humain.

Mi-novembre, 96 patients et leurs accompagnateurs, qui étaient coincés à Jérusalem et Tel-Aviv depuis deux ans, sont retournés à Gaza de leur plein gré. Ceux qui restent se languissent de leurs proches mais sont conscients qu'ils "seraient déjà morts s'ils étaient restés dans l'enclave".

Dans un autre effort pour soulager les traumatismes, un programme thérapeutique utilise des casques de réalité virtuelle pour transporter des enfants marqués par la guerre dans un monde apaisé, loin de la destruction quotidienne.