Cependant, le processus reste complexe et chargé d'incertitude.

Mardi 2 décembre, des restes humains ont été remis à Israël, mais le bureau de Benyamin Netanyahou a confirmé le lendemain qu'il ne s'agissait pas d'un otage.

Cette fausse piste illustre les difficultés rencontrées dans ce processus macabre.

Pour qu'Israël considère la première phase de l'accord comme achevée et puisse envisager de passer à la seconde, le Hamas doit encore restituer le corps du dernier otage, l'Israélien Ran Gvili. Tant que cette condition ne sera pas remplie, les négociations pour le désarmement du Hamas et le retrait des troupes israéliennes resteront au point mort, maintenant la situation dans une phase de transition précaire.