Toutefois, M. Merz a souligné que cette relation "particulière" n'excluait pas la critique.
Ces derniers mois, le ton de Berlin s'est en effet durci face à la détérioration de la situation humanitaire à Gaza et à "l'augmentation massive de la violence des colons" en Cisjordanie. L'Allemagne avait même imposé un embargo partiel sur les ventes d'armes à Israël en août, levé depuis la trêve.
Pendant ce temps, au nord d'Israël, le Liban s'active pour éviter une escalade. Le président libanais Joseph Aoun a demandé à une délégation du Conseil de sécurité de l'ONU de "faire pression sur la partie israélienne pour mettre en œuvre le cessez-le-feu". Cette démarche diplomatique est soutenue par le Hezbollah, dont le chef adjoint, Naïm Qassem, a assuré que son mouvement appuyait l'approche de Beyrouth. Cette position intervient alors que des discussions directes, qualifiées de "positives" côté libanais, ont eu lieu entre les deux pays, bien qu'Israël ait de nouveau bombardé le sud du Liban jeudi, affirmant viser des infrastructures du Hezbollah.












