Cette escalade, marquée par des tirs sur une patrouille de l'ONU, fait craindre une extension régionale du conflit centré sur Gaza.
Les opérations israéliennes se sont intensifiées le long de la frontière libanaise, déjà volatile.
Tsahal a déclaré avoir frappé des "infrastructures appartenant à l'organisation terroriste", incluant des sites de lancement, des champs de tirs et un complexe d'entraînement du Hezbollah.
Cette série d'attaques constitue une montée en puissance significative des hostilités.
La situation s'est encore tendue lorsque la Force intérimaire des Nations Unies au Liban (FINUL) a dénoncé des tirs de l'armée israélienne visant l'une de ses patrouilles.
Malgré cette escalade militaire, un canal diplomatique semble s'ouvrir.
Le Liban a nommé un diplomate pour diriger sa délégation dans des négociations politiques avec Israël.
De son côté, le chef du Hezbollah, Naïm Qassem, a indiqué que son mouvement soutenait l'approche diplomatique de Beyrouth. Néanmoins, la poursuite des échanges de tirs maintient un risque élevé de dérapage et d'embrasement régional.












