Cet événement a permis de tourner une page pour la Thaïlande, mais n'a pas résolu l'impasse principale.

Le cas de Ran Gvili est devenu un enjeu qui, selon un article, "dépasse largement la peine de sa famille". Sa restitution est une condition préalable posée par Israël pour entamer la deuxième phase du plan de paix de Donald Trump, qui prévoit notamment le retrait de l'armée israélienne et le désarmement du Hamas. La mère de Ran Gvili continue d'espérer, mais le blocage persiste, transformant cette tragédie personnelle en un levier diplomatique majeur. Le Hamas, de son côté, utilise ce point pour faire pression dans les négociations, liant la restitution à ses propres exigences, notamment le refus d'un désarmement total.