L'armée israélienne a mené plusieurs séries de frappes aériennes au sud et à l'est du Liban, affirmant cibler les infrastructures du Hezbollah pro-iranien.

Ces actions militaires, rapportées en marge de l'actualité gazaouie, soulignent le risque constant d'un embrasement régional plus large.

Les articles mentionnent des frappes israéliennes les 12 et 18 décembre, présentées comme des réponses aux menaces posées par le Hezbollah, un allié clé du Hamas et un proxy de l'Iran. L'analyse géopolitique de Michel Fayad confirme que les alliés de l'Iran ont subi des pertes historiques, le Hezbollah ayant été "amputé de plus de la moitié de ses capacités".

Cependant, malgré cet affaiblissement, le mouvement libanais ne semble pas prêt à renoncer à ses armes, ce qui pourrait mener à une "reprise des tensions frontalières". Ces frappes ne sont pas des incidents isolés mais s'inscrivent dans une stratégie de dissuasion et de dégradation des capacités militaires adverses.

Elles démontrent qu'Israël gère un conflit sur plusieurs fronts simultanément.

La situation au Liban reste une poudrière, où toute escalade pourrait rapidement dégénérer en une guerre ouverte, avec des conséquences dévastatrices pour les deux pays et la stabilité de toute la région.