"Je pense que la Russie a peur des Tomahawk, vraiment peur, car c'est une arme puissante", a déclaré M. Zelensky.
Il a même proposé d'échanger des "milliers" de drones ukrainiens contre ces missiles.
Donald Trump, cependant, a temporisé, déclarant : "J'espère que nous pourrons mettre fin à la guerre sans avoir à penser aux Tomahawk".
Cette réticence est intervenue juste après un long entretien téléphonique avec Vladimir Poutine, qui a averti que la livraison de ces missiles constituerait "une nouvelle escalade" et "nuirait considérablement" aux relations russo-américaines.
Bien que déçu, Zelensky s'est montré "réaliste", notant que le président américain n'avait pas dit "non" mais pas "oui" non plus.
Le refus de Washington est perçu comme une victoire pour Poutine, qui a réussi à faire pression sur Trump.
Les analystes soulignent que ces missiles pourraient être un "game changer", non seulement militairement mais aussi psychologiquement, en forçant Moscou à la table des négociations.












