Le général Schill a précisé que "7 000 soldats" étaient prêts à être déployés dans le cadre de "l'échelon national d'urgence" avec des délais d'alerte très courts.

Il a également insisté sur l'importance des coalitions, annonçant que l'exercice Orion 26 "éprouvera nos concepts d’emplois interarmées, interalliés et même interministériels".

Ces déclarations reflètent un sentiment partagé par plusieurs pays européens qui redoublent d'efforts pour renforcer leur défense face à une menace russe jugée de plus en plus sérieuse et directe.