La proposition, qui doit maintenant être négociée avec le Parlement européen, prévoit une approche progressive : arrêt des nouveaux contrats dès 2026, fin des contrats à court terme mi-2026, et extinction des contrats à long terme début 2028.

Cette interdiction concernera à la fois le gaz acheminé par gazoduc et le gaz naturel liquéfié (GNL). Le Parlement européen pousse pour un calendrier encore plus ambitieux, avec une interdiction dès le 1er janvier 2026.

Cette décision politique forte concrétise la stratégie européenne de diversification et de réduction de la demande pour affaiblir l'un des principaux leviers économiques et géopolitiques de la Russie.