Les États-Unis ont fixé une date limite au 21 novembre pour que les entreprises se conforment, sous peine de lourdes pénalités.

Cette escalade dans la guerre économique met également la pression sur les alliés européens, notamment la Hongrie, très dépendante du pétrole russe.

Le Premier ministre hongrois, Viktor Orbán, a prévu de se rendre aux États-Unis pour tenter d'obtenir une dérogation.

L'Allemagne a, pour sa part, reçu des assurances que les filiales allemandes de Rosneft, placées sous tutelle de Berlin, ne seraient pas visées, mais cherche encore des « clarifications supplémentaires ».