Le ministre belge de la Défense, Theo Francken, a déclaré que ces drones "viennent pour espionner, pour voir où se trouvent les F-16, où sont les munitions".
Des incidents similaires ont été signalés au Danemark, en Norvège et en Allemagne, tandis que des drones russes ont été interceptés au-dessus de la Pologne et de la Roumanie. Au-delà des drones, cette stratégie inclut des cyberattaques persistantes, comme celles visant le conseil municipal de Liverpool, des brouillages de GPS affectant l'aviation commerciale en mer Baltique, et même des attaques physiques.
Le Premier ministre polonais, Donald Tusk, a affirmé qu'un incendie dans le plus grand centre commercial de Pologne avait été "ordonné par les services spéciaux russes".
L'état-major des armées françaises a également dénoncé une "attaque informationnelle" russe visant à "inverser les rôles de défenseur et d'agresseur".
Ces actions visent à créer un coût financier et sécuritaire constant pour les pays occidentaux, faisant partie d'une stratégie plus large pour les affaiblir.











