Pour Emmanuel Macron, ce partenariat vise à préparer l'armée ukrainienne pour la décennie à venir, au-delà du conflit actuel.

La réaction de Moscou a été immédiate et hostile. Le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a accusé la France d'"alimenter les sentiments militaristes et proguerre" et de ne contribuer "en aucun cas à la paix".

Cette annonce intervient à un moment où l'Ukraine fait face à une situation difficile sur le front et est fragilisée par un scandale de corruption interne. Bien que les détails financiers et le calendrier de livraison restent flous, cet engagement représente le plus grand contrat d'exportation potentiel pour le Rafale et un signal politique fort de la part de Paris envers la Russie.