Si les Ukrainiens ne signent pas, les États-Unis couperont toute l'aide et le partage de renseignements".

Cette campagne de pression américaine intervient au pire moment pour Zelensky, déjà fragilisé sur le plan intérieur par un vaste scandale de corruption.

Des responsables américains estiment que cette faiblesse politique pourrait le rendre plus enclin à accepter leurs conditions.

Face à cet ultimatum, Zelensky a publiquement rejeté le plan dans sa forme actuelle, assurant qu'il ne "trahirait" pas son pays et qu'il proposerait des "alternatives" à Washington.

Il a également cherché à consolider le soutien de ses alliés européens en s'entretenant avec les dirigeants français, allemand et britannique pour coordonner leur réponse commune.