Emmanuel Macron a été plus précis, tout en cherchant à rassurer l'opinion publique.
Il a évoqué une présence militaire "loin de la ligne de front", dans des "positions de repli à Kiev ou à Odessa", et a insisté sur le fait qu'il ne s'agissait pas d'envoyer immédiatement des troupes au combat. "Il ne faut pas semer la panique chez les Français", a-t-il ajouté.
Cette force multinationale serait complétée par une "force de réassurance aérienne", basée dans les pays voisins, qui sécuriserait l'espace aérien ukrainien.
L'Allemagne, pour sa part, se montre plus circonspecte, estimant que sa contribution actuelle avec une brigade en Lituanie est "suffisante".
Ces discussions révèlent que les alliés européens les plus engagés préparent activement des scénarios pour garantir la sécurité de l'Ukraine après un cessez-le-feu, même si de nombreuses questions sur la crédibilité et les ressources d'une telle force restent en suspens.












