Emmanuel Macron a précisé que cette présence militaire se ferait « loin de la ligne de front », dans des « positions de repli à Kiev ou à Odessa », et serait complétée par une force de « réassurance aérienne » basée dans des pays voisins. La participation du secrétaire d'État américain, Marco Rubio, à la réunion a été interprétée comme un signe positif de l'implication de Washington dans ce projet.

L'Allemagne, plus prudente, a indiqué que sa contribution via une brigade stationnée en Lituanie était « suffisante ».