Face à cette impasse, Bruxelles explore un "plan B", comme un "prêt-relais" de plus faible montant financé par un endettement commun de l'UE, pour soutenir l'Ukraine à court terme.

La présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, a promis d'accélérer le processus, affirmant : "Je ne vois aucun scénario dans lequel les contribuables européens paieraient seuls la facture".

De son côté, Vladimir Poutine a prévenu que tout "vol" des actifs russes entraînerait des mesures de rétorsion.