Le président Zelensky a qualifié cette opération d'"attaque terroriste".
Plus tard dans la semaine, la ville de Zaporijia, dans le sud-est, a été la cible d'une autre attaque d'envergure, faisant au moins 19 blessés. Ces bombardements coïncident avec les différentes phases des négociations de paix, ce qui est interprété par de nombreux observateurs comme une tentative de la Russie de terroriser la population et de forcer Kiev à accepter ses conditions. Les autorités ukrainiennes dénoncent une intensification des combats et une volonté de Moscou de dicter le rythme des événements sur le terrain pour mieux contrôler l'agenda diplomatique. Les frappes russes, qui ont utilisé des centaines de drones et des dizaines de missiles au cours de la semaine, ont également été perçues comme une réponse directe aux modifications apportées au plan de paix américain, jugées moins favorables à la Russie. Ces attaques rappellent la dure réalité du conflit sur le terrain, loin des salles de négociation, et soulignent la vulnérabilité des civils ukrainiens face à la puissance de feu russe.












