Ce dernier a insisté sur le fait qu'il n'y avait "pas aujourd'hui un plan qui soit finalisé sur les questions des territoires" et que celles-ci ne pouvaient "être finalisées que par le président Zelensky".

De son côté, le président ukrainien a réitéré ses conditions pour une paix acceptable. Il a souligné qu'un accord devait inclure des garanties de sécurité claires pour protéger son pays d'une future agression, déclarant qu'il ne pouvait accepter un cessez-le-feu qui permettrait à la Russie de "revenir avec une troisième invasion".

Sa visite en Irlande a également été l'occasion de recevoir le soutien du Premier ministre Micheál Martin, qui a condamné fermement Vladimir Poutine.

Cette offensive diplomatique en Europe apparaît comme une stratégie visant à créer un contrepoids à l'influence américaine et à s'assurer que les intérêts de l'Ukraine restent au centre des négociations.