Bien qu'il n'y ait « pas de dommages permanents aux structures porteuses ou aux systèmes de surveillance », la situation reste précaire.

Le directeur général de l'AIEA, Rafael Mariano Grossi, a souligné que des réparations temporaires limitées ont été effectuées, mais qu'« une restauration rapide et complète reste essentielle pour éviter une dégradation supplémentaire et garantir la sécurité nucléaire à long terme ».

Cette structure, achevée en 2019 grâce à une initiative européenne de 1,5 milliard d'euros, est cruciale pour contenir les matières radioactives du réacteur détruit en 1986.

La Banque européenne pour la reconstruction et le développement devrait fournir des fonds supplémentaires pour les réparations l'année prochaine.

L'alerte de l'AIEA met en évidence les dangers persistants que les actions militaires russes font peser sur les installations nucléaires en Ukraine.