Cette position a été réitérée à Paris aux côtés d'Emmanuel Macron.

Volodymyr Zelensky a affirmé que si le plan de paix américain s'était « amélioré », la « question territoriale est la plus difficile ». Il a rappelé que la constitution ukrainienne ne l'autorisait pas à céder des territoires. Pour Kiev, la paix doit être « vraiment durable » et inclure des garanties de sécurité claires de la part des États-Unis et des alliés européens. Cette exigence se heurte à la position de Washington, qui semble vouloir d'abord un accord de paix avant de discuter de garanties de sécurité. La fermeté de l'Ukraine sur ce point est un obstacle majeur dans les négociations, car elle conditionne toute concession à un engagement de sécurité à long terme que ses partenaires, notamment les États-Unis, semblent hésiter à fournir.