Cette condition est perçue comme inacceptable en Ukraine.
Selon le correspondant Gulliver Cragg, l'idée est très mal perçue dans le pays et le président Zelensky "n'a pas le droit" de prendre une telle décision, ce qui reflète un consensus politique et social très fort contre toute concession territoriale. Cette situation illustre la "tension entre la recherche de la paix et celle de la justice", comme l'analyse le médiateur Pierre Hazan. Alors que Washington pousse pour une résolution rapide du conflit, quitte à sacrifier des principes de droit international, Kiev reste fermement attaché à la restauration de sa souveraineté sur l'ensemble de son territoire.
Les articles suggèrent que ce plan, même remanié, "ne convient finalement à personne" et que les négociations avec Moscou patinent.
La question territoriale reste donc le nœud gordien des pourparlers, un point de blocage fondamental qui rend toute issue diplomatique à court terme très incertaine.












