Souhaitez-vous recevoir des notifications ?
Politique
Économie
Sport
Régions
Actualité
Science et Technologie
Culture et Divertissement
Vladimir Poutine a profité de sa grande conférence de presse annuelle pour réaffirmer la ligne dure du Kremlin concernant la guerre en Ukraine. Il a rejeté toute responsabilité russe dans le déclenchement du conflit, revendiqué des succès militaires et menacé l'Europe de représailles en cas de saisie des avoirs russes.\n\nDans un exercice médiatique bien rodé, le président russe a une nouvelle fois imputé la responsabilité de la guerre aux autorités ukrainiennes, affirmant que "la balle est dans le camp des Ukrainiens" pour parvenir à la paix. Sur le plan militaire, il s'est félicité de gains territoriaux récents, assurant que les forces de Moscou "avancent sur tout le front", une déclaration visant à renforcer le moral en interne et à projeter une image de force sur la scène internationale. Cette affirmation de confiance militaire coïncide avec les efforts diplomatiques en cours, suggérant que Moscou n'a aucune intention de négocier en position de faiblesse.
Partager
Par ailleurs, Vladimir Poutine a lancé un avertissement sévère aux Européens concernant les avoirs gelés, prévenant que leur utilisation pour financer Kiev aurait des "conséquences lourdes".
Ce discours, mêlant justification, confiance militaire et menaces, indique clairement que la Russie ne prévoit pas de changer de cap et entend poursuivre ses objectifs stratégiques en Ukraine.
En résumé
Nouvelle montée de tension dans les Caraïbes : les États-Unis ont poursuivi dimanche un navire dans le cadre du blocus mis en place par Washington contre les pétroliers liés au Venezuela. « Les garde-côtes américains poursuivent activement un navire sanctionné qui participe au contournement illégal des sanctions par le Venezuela. Il bat un faux pavillon et fait l’objet d’une ordonnance de saisie judiciaire », a déclaré un responsable de l’administration Trump.Merry Christmas to our friends in Venezuela!!pic.twitter.com/YUGvikAGsy— US Homeland Security News (@defense_civil25) December 21, 2025Les États-Unis, qui ont annoncé mardi la mise en place d’un blocus naval autour du Venezuela contre les pétroliers sous sanctions, ont déjà saisi deux navires accusés de transporter du pétrole vénézuélien. Le dernier a été intercepté samedi par les garde-côtes américains lors d’une opération qualifiée par Caracas de « vol » et d’« enlèvement ».Le navire poursuivi dimanche a été identifié par des médias américains comme le pétrolier Bella 1, sous sanctions américaines depuis 2024 pour ses liens avec l’Iran et le Hezbollah. Selon le site spécialisé TankerTrackers, il était en route pour le Venezuela et ne transportait pas de cargaison. Selon le New York Times, les forces américaines s’en sont approchées tard samedi et ont tenté de l’intercepter après avoir obtenu un mandat auprès d’un juge fédéral, mais le navire a poursuivi sa route.Ces interventions surviennent alors que le président américain Donald Trump augmente la pression mise sur le régime de Nicolás Maduro. D’abord en prenant prétexte de la lutte contre la drogue pour mener des opérations dans les Caraïbes, et désormais en assumant presque ouvertement viser le pétrole vénézuélien.In a pre-dawn action early this morning on Dec. 20, the US Coast Guard with the support of the Department of War apprehended an oil tanker that was last docked in Venezuela. The United States will continue to pursue the illicit movement of sanctioned oil that is used to fund… pic.twitter.com/nSZ4mi6axc— Secretary Kristi Noem (@Sec_Noem) December 20, 2025« Le Venezuela est complètement encerclé par la plus grande armada jamais assemblée dans l’histoire de l’Amérique du Sud, a ainsi déclaré le président des États-Unis, Donald Trump, il y a quelques jours sur son réseau social Truth. Cette armada ne fera que s’agrandir, et le choc pour eux sera sans précédent, jusqu’à ce qu’ils restituent aux États-Unis d’Amérique tout le pétrole, les terres et les autres biens qu’ils nous ont volés. »
Le Parisien
Les États-Unis poursuivaient dimanche un nouveau navire dans le cadre du blocus mis en place par Washington contre les pétroliers liés au Venezuela, confirmant des informations de presse sur une course-poursuite dans les Caraïbes.
Ouest France
Le deuxième sommet de la Confédération des États du Sahel qui s'est achevé à Bamako ce dimanche. Et en amont de la réunion des chefs d'état, ce sont les ministres du Mali, du Niger et du Burkina Faso qui se sont réunis. Le tout dans un contexte de forte pression jihadiste et de tensions régionales.
France 24
Les délégations américaine et ukrainienne ont salué dimanche la tenue d'échanges "productifs et constructifs" lors de négociations organisées à Miami en présence d'alliés européens en vue de mettre fin à la guerre en Ukraine.
BFMTV
Voir toute la rubrique
Personnaliser maintenant
Actualités 24
Facebook
X
Whatsapp
Telegram
Reddit
Linkedin
Copier le lien
Investir
La Croix
La Tribune
Le Nouvel Obs
Le Point
L'Équipe
Les Echos
L'Express
L'Humanité
Libération
l'Opinion
Météo France
Politico
TF1 Info
