Un haut fonctionnaire européen a déclaré : "Ils veulent nous affaiblir".

Cette méfiance est exacerbée par les déclarations de Donald Trump, qui a qualifié les dirigeants européens de "faibles", affirmant qu'ils "parlent, mais ne produisent pas". En réaction, les Européens, notamment l'Allemagne et la France, s'efforcent de préserver un front uni et de peser sur les négociations de paix pour éviter un accord qui serait défavorable à l'Ukraine. Manfred Weber, chef du groupe PPE au Parlement européen, a offert une évaluation frappante de la situation en déclarant : "Les États-Unis ne sont manifestement plus le leader du monde libre".