Le latéral du PSG a entamé une rééducation intensive pour espérer être rétabli à temps pour la compétition organisée sur son sol.
Blessé le 4 novembre lors d'un match de Ligue des Champions contre le Bayern Munich, le capitaine des Lions de l’Atlas est engagé dans une véritable course contre la montre. L'enjeu est de taille, puisqu'il s'agit de mener sa sélection lors d'une CAN particulièrement attendue au Maroc.
Selon Nasser Larguet, ancien Directeur technique national marocain, le joueur fait preuve d'une détermination sans faille.
Il a expliqué que le Parisien était "en train de doubler ses efforts" et qu'il effectuait "pratiquement six heures de rééducation par jour pour revenir, à un moment donné, et aider son équipe nationale." Cette abnégation illustre l'importance de l'événement pour Hakimi, qui a éclaté en sanglots au moment de sa blessure, conscient des implications pour sa participation au tournoi continental. Cependant, cette volonté de revenir rapidement soulève également des craintes. Une reprise trop précoce pourrait comporter des risques de rechute.
La situation met en lumière le dilemme classique entre les intérêts du club, qui souhaite un rétablissement complet, et l'ambition du joueur de représenter son pays dans une compétition majeure. Le Maroc débutera la CAN le 21 décembre, laissant moins d'un mois à son joueur vedette pour être apte.












