Blessé depuis fin octobre, son processus de rééducation est suivi de près, tant par son club que par la sélection marocaine.
La situation d'Achraf Hakimi est l'une des principales préoccupations du PSG et du Maroc.
L'arrière droit, forfait pour le match contre Rennes, a dû porter une botte orthopédique pendant vingt jours, qu'il a retirée le 25 novembre.
Depuis, il a entamé une phase de rééducation intensive au centre d'entraînement de Poissy.
L'objectif personnel du joueur est clair : être apte pour le premier match de la CAN avec le Maroc, qui se jouera contre les Comores.
Il met tout en œuvre pour accélérer son retour et retrouver 100 % de ses capacités physiques.
Cependant, le PSG prône la prudence, conscient qu'un retour précipité pourrait entraîner une rechute préjudiciable pour la seconde partie de saison.
L'absence du latéral se fait cruellement sentir dans le système de Luis Enrique, qui doit composer sans l'un de ses principaux animateurs de couloir, obligeant Warren Zaïre-Emery à dépanner à ce poste. La gestion de sa convalescence représente donc un équilibre délicat entre les ambitions internationales du joueur et les intérêts à long terme du club parisien, qui espère le récupérer en pleine forme après la compétition africaine.












