Cette nouvelle salve d'épisodes, disponible dès le 23 octobre, s'éloigne de la rencontre initiale pour se confronter aux réalités du quotidien et de l'engagement.
Après une première saison acclamée par la critique, qui posait les bases de l'idylle improbable entre Joanne (Kristen Bell) et Noah (Adam Brody), ce deuxième chapitre s'ancre dans une nouvelle dynamique.
Comme le résume la créatrice Erin Foster, « la première saison racontait le “si”, la seconde explore le “comment” ». La série délaisse la magie de la rencontre pour aborder les compromis, les doutes et les désaccords qui cimentent ou fissurent une relation sur la durée.
Au cœur de l'intrigue se trouve le dilemme de Joanne face à une possible conversion au judaïsme, un enjeu qui devient une métaphore de l'engagement amoureux lui-même.
Ce parcours s'inspire directement de l'expérience personnelle d'Erin Foster, qui s'est convertie avant d'épouser son mari.
Elle confie au Los Angeles Times avoir longtemps cru que le bonheur ne pouvait nourrir sa créativité, un paradoxe qui a disparu lorsqu'elle a entamé sa propre conversion. Pour garantir l'authenticité du propos, elle s'est entourée du rabbin qui l'a accompagnée dans sa démarche.
La saison 2 s'émancipe toutefois de l'autobiographie pour explorer davantage les personnages secondaires, notamment avec l'arrivée de nouveaux visages comme Leighton Meester, épouse d'Adam Brody à la ville, qui incarne une ancienne rivale de Joanne. Cette suite, bien que saluée pour son écriture et l'alchimie de son duo principal, a reçu un accueil plus mitigé de la part de certains critiques, qui notent une tendance à forcer le trait sur l'instabilité du couple, au détriment de la nuance qui caractérisait les débuts.












