Des choix artistiques, comme l'utilisation anachronique de la chanson "What a life" du groupe Scarlet Pleasure, ont également été commentés. Le tournage, décrit par l'un des acteurs comme "le plus intense de toute ma vie", a été particulièrement éprouvant, notamment pour les scènes se déroulant dans le couloir du Bataclan, qui n'ont pas été tournées dans la salle de spectacle réelle. Cette réception complexe illustre la difficulté de porter à l'écran un traumatisme national aussi récent et sensible, entre la nécessité du devoir de mémoire et le respect de la douleur des victimes.