Il a affirmé n'avoir jamais donné son accord et a demandé des excuses publiques ainsi que le retrait de la scène, se sentant "trahi".

Cette plainte a mis en lumière la délicate question du traitement fictionnel d'événements dont les victimes sont encore en vie.

Le réalisateur, Jean-Xavier de Lestrade, a rapidement réagi en présentant ses excuses.

Il a expliqué la complexité de contacter toutes les personnes impliquées et a exprimé son regret : "Ce n’est pas bien et je le regrette". Il a également justifié ses choix artistiques, comme celui de montrer le visage des terroristes, pour ne pas les déshumaniser.

La série, qui se concentre sur la thérapie de groupe et la reconstruction des survivants, a par ailleurs été saluée pour son approche humaine, avec des témoignages de psychologues et d'acteurs soulignant l'intensité du tournage. Cependant, la controverse a jeté une ombre sur sa réception, posant la question de la responsabilité des créateurs face à la mémoire vivante des victimes.