Yannick Noah y incarne Vincent Beti, le directeur technique du tournoi, un personnage qu'il qualifie lui-même d'"ambigu".

Pour l'artiste, ce projet représente un "challenge, une remise en question", une expérience "jouissive" qui lui permet de s'éloigner de son image publique. Le casting inclut également sa fille, Eleejah Noah, ce qui ajoute une dimension personnelle à ses débuts.

La réception critique est partagée.

Si Le Télégramme évoque un "rôle écrit sur mesure", d'autres médias sont plus sévères, comme Le Parisien qui critique un "scénario basique et un jeu inégal", ou Télérama qui qualifie la fiction de "téléfilm paresseux" et "peu inspirée". Malgré un casting jugé "sympathique" et un thème prometteur sur les coulisses impitoyables du tennis féminin, beaucoup de critiques soulignent une intrigue trop prévisible.

Cette première expérience de Yannick Noah en tant que tête d'affiche, bien que diversement appréciée, a néanmoins constitué un événement télévisuel notable de la semaine.