Ce changement de perspective donne un ton plus sombre et "crépusculaire" à la série, que Télérama qualifie de "shakespearienne", rythmée par une "guerre d’ego, trahison, vengeance".

Franck Gastambide lui-même explique avoir voulu raconter un "Comte de Monte-Cristo des temps modernes".

La réception critique est partagée.

Certains médias saluent un gain en réalisme en explorant les coulisses du business musical.

Télé-Loisirs souligne la capacité de la série à aborder des "thématiques simples, mais universelles" et met en avant un final "tragique et puissant". D'autres, comme Les Chroniques de Cliffhanger, trouvent l'intrigue "capillotractée" et les dialogues "mièvres", regrettant que la dimension musicale soit reléguée au second plan. La saison est donc perçue comme une évolution qui, si elle apporte de la profondeur pour certains, semble anecdotique pour d'autres.