Cette fiction policière met en scène Olivia Côte dans le rôle d'une gendarme qui voit une enquête sur une adolescente disparue cinq ans plus tôt être relancée par l'apparition d'une vidéo deepfake générée par une intelligence artificielle.
Si l'intrigue de la série est entièrement fictionnelle, son créateur, Pierre Monjanel, a révélé avoir été inspiré par un événement bien réel et hautement médiatisé : la réaction du père d'Estelle Mouzin, victime du tueur en série Michel Fourniret, face à des vidéos créées par IA sur TikTok qui imitaient sa fille.
Pierre Monjanel a déclaré : « Tout était là.
Une jeune fille disparue depuis plusieurs années, laissant derrière elle un traumatisme poignant qui avait meurtri toute une communauté dont la douleur était ravivée par des vidéos “putaclics” fabriquées grâce à ce qu’on appelle “l’intelligence artificielle” ».
Cette origine confère à la série une dimension contemporaine et polémique, interrogeant l'impact des nouvelles technologies sur le deuil et la mémoire. Les critiques saluent la performance d'Olivia Côte, tout en notant que la série utilise des ressorts classiques du polar.












