Cependant, l'événement a été marqué par une controverse suite à la diffusion d'une vidéo montrant des propos désobligeants tenus par deux candidates non-finalistes.

Le couronnement d'Hinaupoko Devèze, avec Miss Nouvelle-Calédonie, Juliette Collet, comme première dauphine, a été suivi par des millions de téléspectateurs, confirmant le statut de l'émission comme un programme phare.

Toutefois, une ombre a été jetée sur la cérémonie par un incident en coulisses.

Une vidéo privée, rendue publique, a montré Aïnhoa Lahitete (Miss Aquitaine) et Julie Zitouni (Miss Provence) réagir négativement à leur élimination avant le top 12.

Dans la séquence, Julie Zitouni a qualifié les finalistes de « grosses p*tes ».

Face au tollé provoqué sur les réseaux sociaux, où des commentaires comme « Ce n’est pas terrible comme comportement » ont fleuri, la candidate a dû s'expliquer publiquement.

Elle a affirmé que ses propos étaient « maladroits » et que dans son langage familier, le terme employé signifiait « les veinardes » ou « les chanceuses », et non une insulte. Elle a également précisé avoir contacté les candidates concernées pour présenter ses excuses.

Cet incident a rapidement lancé un débat sur l'image du concours Miss France, le fair-play entre les candidates et les limites de la sphère privée dans un contexte de forte médiatisation, soulignant la pression intense subie par les jeunes femmes.