Des propos jugés insultants, tenus en coulisses après l'annonce des douze demi-finalistes, ont fuité dans une vidéo, provoquant une onde de choc.
Dans la séquence devenue virale, on entend Miss Aquitaine, Aïnhoa Lahitete, exprimer son incompréhension face au choix des finalistes, avant que Miss Provence, Julie Zitouni, ne qualifie les élues de "grosses p*tes". Face au tollé, Julie Zitouni a présenté ses excuses, expliquant que le terme était "maladroit" et signifiait dans son langage familier "les chanceuses", sans intention de blesser.
Cette justification n'a pas convaincu le comité Miss France, dont le président a qualifié l'incident d'"affligeant" avant de prononcer la destitution des deux jeunes femmes.
L'ancienne directrice du concours, Sylvie Tellier, a également réagi avec fermeté, déclarant : "Elles ont de la chance que je ne sois plus là".
Cet incident met en lumière la pression intense subie par les candidates et la surveillance constante dont elles font l'objet, où chaque parole, même privée, peut avoir des conséquences publiques et irréversibles sur leur parcours.












