Le Hamas a réaffirmé son engagement envers l'accord tout en soulignant les difficultés à retrouver toutes les dépouilles. Le Hamas s'est engagé à remettre "tous les corps restants" des otages, mais prévient que le processus pourrait être long, car certains corps sont "enterrés dans des tunnels détruits" ou "sous les décombres".

Israël, qui accuse le Hamas de violer l'accord, a récupéré une nouvelle dépouille.

La Turquie a envoyé des équipes de secouristes pour aider aux recherches.

Pendant ce temps, la situation humanitaire à Gaza reste catastrophique.

Selon le ministère de la Santé du Hamas, plus de 170 000 blessés attendent des soins, et les Gazaouis décrivent la période post-cessez-le-feu comme "le début d’une nouvelle guerre, celle du deuil". Sur le plan diplomatique, le président américain Donald Trump a menacé "d’aller tuer" les membres du Hamas si le mouvement "n’arrêtait pas de tuer des gens" à Gaza, en référence à des exécutions de "collaborateurs" revendiquées par le groupe islamiste. En parallèle, une frappe israélienne au Liban, dénoncée par l'Iran comme une "violation du cessez-le-feu", a ravivé les tensions régionales.