Il a été révélé que les bijoux n'étaient pas assurés.

L'enquête se concentre sur la nacelle utilisée par les malfaiteurs pour atteindre un balcon.

Le véhicule, que les voleurs ont tenté d'incendier sans succès, avait été volé quelques jours plus tôt à une entreprise de la commune de Louvres (Val-d'Oise), après un rendez-vous fixé via une annonce de vente en ligne.

Une soixantaine d'enquêteurs sont mobilisés pour retrouver les auteurs, toujours en fuite.

Face à la polémique, la ministre de la Culture, Rachida Dati, a affirmé à l'Assemblée nationale que les dispositifs de sécurité du musée «n'ont pas été défaillants» et «ont fonctionné». La direction du musée a également défendu la qualité des vitrines fracturées. Il a été révélé que la présidente du Louvre, Laurence des Cars, avait présenté sa démission après le vol, mais celle-ci a été refusée par l'Élysée.

Ce cambriolage a provoqué un «sentiment de honte et de colère» et a mis en lumière la vulnérabilité des institutions culturelles.