Au cours de cet événement, une intervenante a qualifié l'attaque terroriste du Hamas du 7 octobre 2023 d'"accélérateur de l'histoire". Ces propos ont été vivement condamnés par le ministre de l'Enseignement supérieur, Philippe Baptiste, qui a dénoncé un "rassemblement aux relents antisémites" et a demandé au rectorat de saisir la justice. L'Union des étudiants juifs de France (UEJF) a également porté plainte, décrivant un événement où "on applaudit le Hamas et on revendique le 7 octobre". En réponse, le procureur de la République de Bobigny a ouvert une enquête pour déterminer si les propos tenus sont "susceptibles de recevoir la qualification pénale d'apologie publique d'acte de terrorisme". L'affaire a provoqué une forte indignation au sein de la classe politique et relancé le débat sur la liberté d'expression et l'antisémitisme dans le milieu universitaire.