Parallèlement, l'affaire a pris une dimension internationale sur le plan de l'information. Des réseaux de propagande pro-russes se sont saisis de l'événement pour "ternir l'image de la France". En produisant de nombreux contenus et des vidéos trompeuses, ces comptes cherchent à dépeindre un pays incapable de protéger ses propres trésors, dans le but de critiquer son soutien à l'Ukraine. Pendant ce temps, l'enquête se poursuit activement pour retrouver les voleurs, mais les chances de récupérer les bijoux intacts, dont la valeur est estimée à 88 millions d'euros, s'amenuisent de jour en jour, suscitant l'inquiétude quant au sort de ce patrimoine inestimable.