Ils ont été placés en garde à vue pour "vol en bande organisée" et "association de malfaiteurs criminelle".

Malgré ces arrestations, les bijoux restent introuvables, et la priorité des enquêteurs de la Brigade de répression du banditisme (BRB) est désormais de retrouver les deux autres complices et le butin avant qu'il ne soit dispersé. L'affaire a également déclenché un vif débat sur la sécurité du musée le plus visité au monde, conduisant à des propositions politiques, comme la création d'un commissariat au sein même du Louvre, une idée à laquelle le ministre de l'Intérieur Laurent Nuñez s'est dit "opposé".