Elle a rappelé avoir lancé plusieurs missions d'enquête après le vol.
Une délégation de sénateurs s'est également rendue sur place, constatant la "vétusté du dispositif de sécurité".
Pendant ce temps, l'enquête judiciaire se poursuit.
Deux hommes, originaires de Seine-Saint-Denis et connus des services de police, sont en garde à vue.
Ils nient pour l'instant toute implication, bien que leur ADN ait été retrouvé sur les lieux.
L'avocate de l'un d'eux a indiqué sur TF1 que son client était "sincèrement abattu" par l'ampleur médiatique de l'affaire.
Ce vol a relancé le débat sur la protection des œuvres d'art, certains s'interrogeant sur l'opportunité d'exposer des répliques, une idée que les conservateurs jugent être un "crève-cœur".
De manière inattendue, la fenêtre fracturée par laquelle les voleurs seraient passés est devenue une sorte d'attraction pour les touristes curieux.











