Le mode opératoire rappelle en effet celui employé en juillet 2024, lorsque plusieurs lignes TGV avaient été paralysées avant l'ouverture des Jeux olympiques.

Un détail troublant vient appuyer cette thèse : un poème publié quelques heures après les faits sur des sites anarcho-libertaires revendiquait une "Attaque contre Cheval TP et la SNCF".

Face à ces actes, le ministre a reconnu qu'il était "très compliqué" de surveiller les 28 000 km de voies et que le "risque zéro" n'existait pas, tout en promettant des mesures pour protéger les "points névralgiques" du réseau.