La décision a créé des remous au sein de Renaissance. Le député Sylvain Maillard, soutien de Rachida Dati, a annoncé se mettre "en retrait" de ses fonctions de président de la fédération Renaissance de Paris.

D'autres, comme le ministre Benjamin Haddad, ont dénoncé une "machine à perdre".

Le parti justifie son choix par un "besoin d'apaisement" et la volonté de porter un projet incarnant le "bloc central".