La rencontre a été marquée par une fin de match surréaliste et une décision arbitrale qui a provoqué un sentiment d'injustice et une vive colère dans le camp marseillais. Alors que le score était de 0-0 à la 90e minute, l'OM pensait obtenir un penalty pour une main du défenseur de l'Atalanta, Ederson, dans sa surface.
Cependant, l'arbitre espagnol, M. Sanchez Martinez, a laissé le jeu se poursuivre.
Sur la contre-attaque qui a suivi, Lazar Samardzic a inscrit le but de la victoire pour l'équipe italienne d'une superbe frappe, plongeant le Vélodrome dans la stupeur. L'arbitre n'est pas revenu sur sa décision, même après consultation de la VAR, validant le but et scellant la troisième défaite de l'OM en quatre journées. Cette action a suscité une vague d'incompréhension et de frustration.
Le directeur du football de l'OM, Medhi Benatia, a critiqué la gestion du corps arbitral, jugeant la situation "difficile à accepter".
Le défenseur Nayef Aguerd a abondé dans ce sens, déclarant que l'arbitre "doit au moins aller checker le VAR". L'ancien arbitre international Saïd Ennjimi a également estimé que l'arbitre "aurait pu siffler le penalty".
Malgré la défaite, l'entraîneur Roberto de Zerbi a gardé espoir, affirmant que l'OM "peut encore se qualifier". Avec ce résultat, Marseille se retrouve à la 25e place du classement général de la phase de ligue, virtuellement éliminé de la compétition.












