Sur le terrain, la situation demeure fragile.

Le Premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, a déclaré qu'Israël ferait respecter les trêves au Liban et dans la bande de Gaza d'une "poigne de fer". Dans le cadre de cet accord, le ministère de la Santé palestinien a annoncé avoir reçu 15 corps de prisonniers décédés restitués par Israël. Parallèlement, le Parlement israélien, la Knesset, a approuvé en première lecture une proposition de loi instaurant la "peine de mort pour les terroristes", une mesure qui exacerbe les tensions. Le chef d'état-major israélien a également appelé à une "enquête systémique" sur les défaillances sécuritaires ayant mené aux attaques du 7 octobre.

La communauté internationale reste attentive, les Émirats arabes unis ayant indiqué qu'ils ne participeraient "probablement pas" à une future force internationale de stabilisation à Gaza.