Le commissaire européen Thierry Breton a également réagi, estimant que si les lois européennes comme le Digital Services Act avaient été correctement appliquées, il n'aurait pas été nécessaire d'agir "dans l’urgence et la précipitation".

L'audience du 26 novembre sera donc déterminante pour l'avenir de la plateforme en France et pourrait créer un précédent pour la régulation de ces nouveaux acteurs du e-commerce.