Le gouvernement chinois a non seulement appelé au boycott touristique, mais les principales compagnies aériennes du pays ont également annoncé proposer le remboursement intégral des billets d'avion vers le Japon, transformant l'avertissement diplomatique en une mesure de pression économique concrète. Les articles décrivent le style politique de Sanae Takaichi comme celui d'une "Dame de fer", la comparant à Donald Trump pour sa détermination à bousculer les codes et à remettre l'économie japonaise au centre du jeu.

Cette escalade des tensions s'inscrit dans un contexte géopolitique régional déjà complexe et met en lumière le risque d'un conflit plus large autour du statut de Taïwan.