En conséquence, les trois autres sites du groupe, dont le site historique d'Hagondange en Moselle, sont placés en liquidation judiciaire, entraînant le licenciement de 550 à 632 salariés selon les sources.
Cette décision a provoqué le désarroi des employés, qui ont bloqué les accès aux usines.
L'affaire prend une tournure politique et judiciaire, car le gouvernement met en cause la gestion de Greybull Capital, qualifié de "repreneur voyou".
Ce fonds avait repris Novasco en 2024 en promettant d'injecter 90 millions d'euros, un engagement qui, selon l'État, n'a pas été tenu.
Les ministres de l’Économie et de l’Industrie ont donc affirmé leur volonté de "saisir les tribunaux" pour faire la lumière sur ce "désastre social". Malgré les promesses de soutien de l'exécutif, les salariés restent pessimistes quant à leur avenir et espèrent obtenir un meilleur plan social.












