Le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, a appelé à "traduire l'élan diplomatique en mesures concrètes sur le terrain".

Cependant, le Hamas a rejeté la résolution, dénonçant un plan qui imposerait "une tutelle internationale" sur l'enclave palestinienne.

De nombreuses questions restent en suspens concernant les modalités de mise en œuvre, notamment les attributions précises du conseil de paix et les prérogatives de la force internationale.

L'adoption de ce plan intervient alors que le prince héritier saoudien, Mohammed Ben Salman, en visite à Washington, a déclaré vouloir travailler à une reconnaissance d'Israël "dès que possible", ajoutant une dimension diplomatique régionale complexe à la situation.