Incarcéré pendant près d'un an en Algérie, il avait été gracié par le président algérien Abdelmadjid Tebboune et avait retrouvé la liberté le 12 novembre, avant de se rendre en Allemagne pour des soins. Son retour en France a été salué par ses soutiens, dont l'écrivain Pascal Bruckner, qui a déclaré que "la liberté a triomphé de la bêtise et du dogmatisme".
Cet événement a également eu des répercussions diplomatiques.
Le président français Emmanuel Macron a profité de cette libération pour tendre la main à son homologue algérien.
Se disant ouvert à une discussion dès ce week-end en Afrique du Sud, il a indiqué être "disponible" pour un "dialogue sérieux, calme et exigeant" avec le président Tebboune, dans le but de faire avancer les discussions entre les deux pays, dont les relations ont été marquées par des tensions.












