La révision prend en compte des critères de confort qui sont aujourd'hui standards mais qui ne l'étaient pas à l'époque, tels que la présence d'eau courante, d'électricité, de WC ou de lavabos dans le logement. Le cabinet de la ministre des Comptes publics, Amélie de Montchalin, a justifié cette mesure comme une question d'"efficacité et d'équité de l'impôt", visant à ce que "chacun paie selon le type de logement qu'il détient". Cette actualisation vise donc à corriger des inégalités historiques en faisant en sorte que l'impôt reflète plus fidèlement la valeur et le confort réels des propriétés immobilières.