Le débat s'est également porté sur la responsabilité des consommateurs, Emmanuel Macron ayant pointé du doigt « les bourgeois des centres-villes qui financent les narcotrafiquants ». Si des promesses ont été faites, comme l'ajout de magistrats, le scepticisme demeure quant à l'efficacité de réponses jugées trop théâtrales et pas assez structurelles, alors que beaucoup appellent à s'inspirer du modèle de lutte antimafia italien, qui a mis des années à se construire.